Ah, le doux frisson de l’écrivain qui ouvre un mail de réponse d’éditeur… et qui découvre un refus poli mais cinglant. Ou pire, le commentaire d’un lecteur qui considère que votre roman est « une insulte à la littérature et à son hamster ». Respirez ! Voici un guide humoristique pour survivre aux critiques et aux lettres de refus sans tout brûler et partir élever des chèvres dans le Larzac. 🐐
1. Accepter que ça fait partie du jeu 🎭
📌 Réalité dure mais nécessaire : Même les plus grands auteurs ont été rejetés.
- J.K. Rowling ? Refusée par 12 maisons d’édition avant que quelqu’un ne croit à son histoire de sorcier binoclard.
- Stephen King ? Son premier roman Carrie a failli finir à la poubelle avant d’être publié.
- Marcel Proust ? On lui a dit que Du côté de chez Swann était « incompréhensible » (bon, OK, celui-là, on comprend un peu pourquoi).
✅ Solution : Gardez en tête que le rejet n’est pas un verdict final, mais une étape vers la publication. (Et accessoirement, un rite d’initiation pour tout écrivain qui se respecte.)
2. Analyser la critique (au lieu de pleurer sur votre plaid) 🧐
📌 L’erreur classique : Prendre chaque critique comme une attaque personnelle. « Comment ça, mon personnage principal est plat ?! » 😡
✅ Solution : Distinguez les critiques constructives (celles qui peuvent vous aider) des critiques gratuites (celles qui méritent juste un regard blasé).
🎭 Exemples de critiques et comment les gérer :
- « L’intrigue est un peu confuse. » ➝ OK, je vais retravailler la clarté.
- « J’aime pas les romans avec des elfes. » ➝ Bon, c’est un goût personnel, pas un problème d’écriture.
- « Votre livre est une honte à l’humanité. » ➝ Euh… Calmons-nous, Gérard. 🤨
3. Ne pas répondre à chaud (surtout sur les réseaux) 🔥
📌 L’erreur fatale : S’emporter et répondre sur un coup de tête. (Spoiler : Ça finit rarement bien.)
📖 Exemple d’un écrivain trop impulsif :
Critique : « Ce livre est un ramassis d’absurdités. » Auteur : « Tu veux qu’on en parle, Kevin ? Viens me dire ça en face ! » 😡
✅ Solution :
- Prenez du recul. Relisez le commentaire le lendemain, avec un café et un peu moins de rage meurtrière.
- Si réponse il y a, qu’elle soit classe. Exemple : « Merci pour votre retour, j’espère que mon prochain livre vous plaira davantage ! » (BAM, élégance maximale.)
- Parfois, mieux vaut ignorer. Répondre à un troll, c’est comme tenter d’éteindre un feu avec de l’essence.
4. Relativiser : un livre, c’est subjectif ! 📚
📌 Petit rappel : Même les chefs-d’œuvre absolus ont leurs détracteurs.
- Le Seigneur des Anneaux ? Trop long, selon certains.
- 1984 ? « Exagéré et pessimiste » (ironie du sort, non ?).
- Orgueil et Préjugés ? « Trop de romance » pour les allergiques aux belles histoires.
✅ Solution : Acceptez que vous ne pouvez pas plaire à tout le monde. L’essentiel, c’est de trouver votre public et d’écrire pour ceux qui aiment votre style.
5. Transformer la douleur en motivation 💪
📌 L’avantage du rejet : Il vous force à progresser.
- Une critique argumentée ? ➝ Améliorez votre texte !
- Un refus d’éditeur ? ➝ Envoyez ailleurs !
- Un commentaire rageux ? ➝ Imprimez-le, encadrez-le, et vendez un million d’exemplaires juste pour embêter la personne. 😈
✅ Solution : Défi personnel : Chaque refus = une amélioration. Chaque critique = une opportunité de se perfectionner. Et un jour… BAM, succès. 🚀
Conclusion : Un écrivain, c’est un guerrier ⚔️📖
Recevoir une critique ou un refus, c’est comme se prendre une flèche en pleine armure : ça pique, mais ça ne tue pas. Ce qui compte, c’est de continuer à écrire, à s’améliorer et à croire en ses histoires.
Et vous, quelle est la pire critique ou le refus le plus absurde que vous ayez reçu ? Racontez-moi tout en commentaire ! 😆📚